Reconnue par les Départements comme un acteur innovant et recherché pour son expertise dans le domaine de la Protection de l’enfance, ACTION ENFANCE connaît un développement inédit. Consciente d’être à une nouvelle croisée de son histoire, la Fondation livre ici sa vision stratégique pour les cinq années à venir.
Ecouter les tendances et innover en tant qu’acteur de la Protection de l’enfance pour améliorer l’accueil des fratries confiées par les Conseils départementaux : cette ambition que porte la Fondation depuis près de 70 ans nécessite de réajuster régulièrement sa stratégie et ses moyens d’actions. « Le contexte dans lequel nous évoluons bouge, que l’on parle des attentes des Départements, des enfants que nous accueillons, dont les problématiques sont plus complexes que par le passé ; ou encore des équipes éducatives, toujours aussi engagées mais à la recherche d’un équilibre différent entre vie professionnelle et personnelle », rappelle François Vacherat, directeur général d’ACTION ENFANCE. Pour aborder ces cinq prochaines années, la Fondation peut s’appuyer sur un projet d’accueil clair, des équipes engagées auprès des enfants ainsi que sur sa solidité financière, étayée par sa capacité à mixer les financements publics des Départements et les ressources privées issues de la générosité de ses donateurs et entreprises partenaires. Le choix d’une organisation décentralisée a fait ses preuves. La prise en compte de la parole des enfants, accueillis aujourd’hui ou par le passé, pour entendre ce qu’ils ont à dire de leur vie au Village est désormais bien ancrée dans les pratiques. Elle a contribué à l’élaboration de dispositifs innovants, qui étoffent l’offre d’accueil des Villages. « Alors que les Villages d’Enfants et d’Adolescents restaient marginaux, avec moins de 2 % des enfants accueillis en Protection de l’enfance, ce mode d’accueil est aujourd’hui reconnu pour la qualité de son offre d’accompagnement adaptée », souligne François Vacherat.
1.Partager nos convictions et nos valeurs
Au cours des cinq dernières années, la Fondation a connu un développement inédit, augmentant sa capacité d’accueil de 30 % et, dans des proportions similaires, les effectifs de ses équipes éducatives. Cette croissance rapide invite à réaffirmer les convictions et les valeurs qui fondent le Projet d’ACTION ENFANCE depuis sa création. Et pose cette question majeure : comment faire vivre et assurer la qualité de la transmission de ces fondamentaux auprès de professionnels venant d’horizons différents, souvent peu familiers avec le concept d’accueil de type familial ? Le projet éducatif et managérial doit donc être sans cesse transmis et faire l’objet d’une adhésion dès le recrutement et l’accueil des nouveaux salariés. « L’enjeu consiste à donner du sens à l’accompagnement des enfants au sein de la Fondation. On rappelle aux éducatrices/teurs familiaux, qui travaillent plusieurs jours et nuits consécutifs, que le concept de figure d’attachement joue un rôle essentiel dans le développement émotionnel de l’enfant. Cela suppose d’être foncièrement convaincu de ce que l’on transmet aux professionnels et il est évident que cela a des effets bénéfiques sur l’attitude qu’eux-mêmes adoptent avec les enfants », témoigne Fabien Garnier, directeur du Village d’Enfants et d’Adolescents des Vignes qui, pour son ouverture, a recruté une trentaine de personnes au cours des 18 derniers mois. La clé de la transmission réside, selon lui, dans la discussion, l’écoute, la posture managériale, qui doit être ouverte et authentique. « Nous devons accorder autant d’importance et de soin à l’accueil d’un professionnel qu’à l’accueil des enfants. La période d’intégration est décisive. Elle se fait systématiquement en doublon, pour permettre aux nouveaux éducateurs de se familiariser avec l’accueil de type familial, de prendre leurs repères et d’adhérer au Projet d’ACTION ENFANCE », poursuit-il. La formation d’éducatrice/teur familial leur permet d’appréhender toutes les spécificités des dispositifs et modes d’accueil proposés par la Fondation. « C’est un fantastique outil, créé par la direction Innovation, appui et qualité et la direction des Ressources humaines, qui est utile aux professionnels diplômés du secteur social comme à ceux qui ne le sont pas, tant notre projet éducatif est singulier dans le monde de la Protection de l’enfance », assure le directeur du Village des Vignes.
En 1960, nous avions un seul Village, Cesson. En 2024, nous en avons 15, et 12 sont en création, offrant des modes d’accueil diversifiés qui répondent aux besoins des enfants et des jeunes qui nous sont confiés par l’Aide sociale à l’enfance. Nous sommes à l’aube d’un véritable changement d’échelle. D’ici à cinq ans, la Fondation accueillera environ 1 500 enfants et adolescents, 500 de plus qu’aujourd’hui. Pour maîtriser notre croissance, pérenniser notre modèle économique autant que notre Projet éducatif, conserver notre âme et nos valeurs, les équipes de direction ont défini un plan stratégique ambitieux pour les cinq prochaines années, que le Conseil d’administration a validé le 23 octobre 2023. Un solide travail de projection financière a été réalisé afin de vérifier que cette croissance serait supportable par la Fondation. Nous nous donnons des moyens financiers mais aussi, bien sûr, des moyens humains et organisationnels. La direction du Développement, qui gère à la fois les réponses aux appels à projets et la construction des futurs Villages d’Enfants et d’Adolescents, a été renforcée. Nous allons intensifier les recrutements et la formation des éducatrices/teurs familiaux ainsi que des équipes qui font fonctionner les établissements. Sans aucun doute, nous avons les moyens de nos ambitions. Audacieux, ce programme est avant tout maîtrisé et raisonné.
2. Rendre les enfants et jeunes acteurs de leur projet de vie
Protéger et accompagner dans la durée : telle est la double mission de la Fondation. Cet accompagnement s’exerce le plus souvent en lien avec les parents et la famille, mais toujours en garantissant aux enfants et aux jeunes la possibilité d’être eux-mêmes acteurs de leur projet de vie. Une ambition que Michel Delalande, directeur du Village d’Enfants et d’Adolescents d’Amboise, résume ainsi : « Donner à chacun la possibilité d’être soi-même et de prendre les grandes décisions qui concernent son avenir ». Ce qui rejoint l’impérieuse nécessité de prendre en compte la parole des enfants et des jeunes « De la petite enfance aux premières années de l’âge adulte, c’est tout un parcours de vie qu’un grand nombre d’entre eux mèneront dans nos Villages. Nous devons leur garantir que nous saurons faire évoluer notre accompagnement à mesure qu’ils grandissent, que nous saurons les écouter et prendre en compte leurs envies, leurs choix, leurs rêves. » Le Prix Littéraire de la Fondation, ACTION ENFANCE fait son cinéma, l’ouverture des Villages sur l’extérieur sont autant d’opportunités de découvrir ce que pourrait être leur futur. Chaque enfant bénéficie, dès son arrivée, d’un projet personnalisé qui tient compte de ce qu’il exprime ainsi que des attentes de sa famille. Ce document, fondamental dans la notion de parcours, est réajusté chaque année, en fonction de la manière dont les enfants évoluent, affinent leurs centres d’intérêt et leurs aspirations. « Il y a, pour les jeunes issus de la Protection de l’enfance, une forme d’injonction à l’autonomie, bien plus précocement que pour les autres enfants »,rappelle Michel Delalande. Définir son projet, trouver un toit : tout doit être décidé très tôt, même si la loi Taquet oblige les Conseils départementaux à prendre en charge les jeunes issus de la Protection de l’enfance au-delà de leur majorité. « Il faut laisser la possibilité à ces jeunes majeurs de ne pas être enfermés dans les options qu’ils ont prises. C’est cette générosité du choix qu’offre ACTION+. C’est pourquoi nous organisons systématiquement une présentation de notre dispositif d’après placement ACTION+ et la rencontre avec son référent territorial avant que l’adolescent atteigne la majorité. »
Afin de pouvoir s’adapter aux enfants dont les besoins et les attentes évoluent à mesure qu’ils grandissent, plusieurs dispositifs coexistent au sein des Villages ACTION ENFANCE : Village d’Enfants et d’Adolescents, services d’autonomie et de semi-autonomie, service d’accompagnement renforcé, placement à domicile (PEAD), accueil mère-bébé. Cette capacité à proposer un parcours sans rupture au sein d’un même établissement est un gage de stabilité. Lorsque nous proposons aux adolescents de rejoindre la maison dédiée à la semi-autonomie, ils conservent la possibilité de faire marche arrière et de retrouver leur place au sein de leur maisonnée. D’autres, au contraire, sont impatients de se retrouver entre pairs et de prendre un peu d’indépendance. Nous pouvons entendre les craintes des uns et les aspirations des autres et adapter notre accompagnement à leurs besoins, en toute bienveillance.
3. Accroître la reconnaissance de l’action des femmes et des hommes au service du projet
Pour déployer son Projet, la Fondation s’appuie sur une communauté de plus de 1 000 salariés, autour d’un métier central : éducatrice/teur familial. Ce métier consiste à recréer un environnement le plus proche du modèle familial et à gérer tous les aspects de la vie des enfants. Il est la clé de voûte des Villages d’Enfants et d’Adolescents et de son modèle d’accueil de type familial. C’est pourquoi, dès 2020, ACTION ENFANCE a élaboré une formation pour permettre aux éducatrices/teurs familiaux, nouveaux ou anciens, diplômés du secteur éducatif et social ou non, de mieux appréhender les spécificités des modes d’accueil ainsi que l’accompagnement de fratries. À raison de six sessions en moyenne par an, 220 éducateurs ont déjà été formés ou sont dans ce parcours. « Notre souhait, pour les années à venir, est de faire reconnaître ACTION ENFANCE comme organisme de formation et de certifier notre formation d’éducatrice/teur familial. Un éducateur qui suivrait l’intégralité de cette formation qualifiante obtiendrait ainsi une certification reconnue par l’État. La possibilité de suivre certains modules de façon isolée permettrait notamment d’accompagner la valorisation des acquis de l’expérience (VAE) », indique Corinne Guidat, directrice Innovation, appui et qualité. En jeu : la fidélisation des équipes éducatives, à l’heure où la manière d’appréhender le travail évolue fortement et où le désir de concilier vie personnelle et vie professionnelle prend une place croissante.
« ACTION ENFANCE ne rencontre pas de difficultés particulières à recruter : notre projet attire et nos valeurs éducatives intéressent, rassure Boris Papin, directeur des Ressources humaines. Mais notre ambition étant d’assurer une présence stable des adultes auprès des enfants, nous devons créer les conditions pour que les référents éducatifs restent suffisamment longtemps pour que les enfants puissent se reconstruire auprès d’une figure d’attachement. Ce qui est une équation complexe ! » Comprendre ce qui motive les personnes à rejoindre la Fondation, pourquoi elles partent ou encore l’organisation mise en place par les éducatrices/teurs restés plus de cinq ans, parfois en ayant eux-mêmes des enfants, sont les trois axes de l’étude qui sera menée par le nouveau laboratoire RH. Plus globalement, la Fondation consacre des budgets conséquents pour favoriser la montée en compétences de ses différentes catégories de personnel : 100 000 euros sont investis annuellement pour abonder le budget légal de la formation (au-delà de la formation des éducatrices/teurs familiaux évoquée plus haut).
Second temps fort de cet axe : la collaboration. La façon dont nous travaillons ensemble, dans une maison, dans un établissement, au siège est déterminante dans ce contexte d’évolution du rapport au travail et de l’engagement sur le long terme. « Bénéficier d’un management moins vertical, disposer de plus d’autonomie dans le travail sont des attentes très fortes. Le Projet de la Fondation le permet ! Dans notre management, nous avons intérêt à mettre en avant et incarner nos valeurs collaboratives : confiance, cohésion, dialogue, ouverture et engagement », insiste Boris Papin. La formation aux fondamentaux du management et à la culture managériale est déployée en ce sens depuis 2023.
4. Renforcer l’ancrage des Villages d’Enfants et d’Adolescents dans nos territoires d’intervention
« ACTION ENFANCE est un acteur de l’économie sociale et solidaire ; nos établissements doivent aussi contribuer au développement social et économique de leur territoire. Il y a une vraie attente en ce sens de la part des partenaires locaux, et cela contribuera à ce que nos implantations soient bien acceptées localement », souligne Sandra Macé, directrice du Village d’Enfants et d’Adolescents d’Amilly. Le changement d’échelle de la Fondation oblige en effet à repenser le fonctionnement des Villages d’Enfants et d’Adolescents dans une plus grande proximité avec les multiples partenaires potentiels sur les territoires. Si l’utilité sociale de la Fondation – reconnue d’utilité publique – n’est pas à démontrer en ce qui concerne les enfants, elle doit s’étendre à toutes les parties prenantes du territoire. Faire travailler les artisans locaux lorsque l’on réalise des travaux, faire ses courses auprès de producteurs locaux, tisser des liens avec les entreprises et associations locales ou encore avec les structures de formations professionnelles présentes dans la région a de multiples vertus. « Pour les enfants, c’est l’opportunité de découvrir le monde qui les entoure, d’ouvrir leurs horizons vers une palette de métiers, de donner du sens à ce qu’ils ont dans leur assiette ou encore de trouver ce fameux stage de troisième. Mais cela va bien au-delà. Pour les entreprises, ces partenariats enrichissent leur responsabilité sociétale, par exemple en offrant la possibilité à leurs salariés de découvrir nos Villages et le monde de la Protection de l’enfance. Ce qui peut ouvrir la porte au mentorat ou au parrainage. C’est donnant/donnant. »
Des projets, des projets, des projets. Voilà l’antienne de Fabien Garnier pour engager et responsabiliser les éducatrices/teurs familiaux de son établissement. “Il faut leur permettre d’énoncer et de porter des projets. L’écologie est un sujet auquel tout le monde attache de plus en plus d’importance et des choses simples peuvent être mises en oeuvre à l’échelle des maisons”. Les éducateurs ont ainsi élaboré un programme de visites des capitales européennes sous l’angle de l’environnement. “Ce sont des moments fantastiques pour les enfants mais aussi pour les éducateurs qui les préparent et les encadrent. C’est une belle manière de renforcer leur adhésion au Projet de la Fondation. Nous avons la chance de disposer du soutien de nos donateurs pour réaliser ces projets hors du commun.
5. Garantir la pérennisation de notre modèle économique et organisationnel à long terme
Le modèle économique d’ACTION ENFANCE repose sur deux piliers : le financement par les Départements, au travers des prix de journée, et les ressources issues du soutien de nos donateurs et partenaires privés. « Malgré la tension sur les finances publiques et l’inflation qui touche aussi nos donateurs, nos finances sont solides. Nos fonds propres sont élevés et notre capacité d’endettement importante nous permet de faire face sereinement à notre développement. », précise Aurélie Beaufort Leclercq, directrice financière. L’enjeu de cette période stratégique pour la Fondation est d’être aussi solide dans cinq ans qu’aujourd’hui. Renforcer la collecte de dons privés et trouver d’autres ressources auprès des entreprises, y compris à une échelle territoriale, sont donc au rang des priorités. Le développement sans précédent que connaît la Fondation représente un défi pour les finances mais aussi pour l’organisation. Au vu des appels à projets qui affluent, la Fondation se prépare à créer deux nouvelles implantations par an sur la période quinquennale. « Une croissance que nous voulons maîtrisée, car nous sommes attentifs à la charge de travail qu’elle représente pour les équipes, en particulier au siège. » Pour rester agile, la Fondation s’est donné pour règle managériale de ne pas avoir plus de cinq niveaux hiérarchiques. L’organisation en territoires qui se met en place dans le Loiret répond à cette logique de proximité et d’autonomie d’action. « Nous sommes une Fondation une et indivisible, inscrite dans des territoires où nos salariés, les enfants, les ressources et politiques territoriales ont leurs spécificités et leur richesse propres », conclut François Vacherat.
« A l’aube d’un véritable changement d’échelle, notre programme est ambitieux et maitrisé » – Pierre Lecomte, Président de la Fondation. « En 1960, nous avions un seul Village, Cesson. En 2024, nous en avons 15, et 12 sont en création, offrant des modes d’accueil diversifiés qui répondent aux besoins des enfants et des jeunes qui nous sont confiés par l’Aide sociale à l’enfance. Nous sommes à l’aube d’un véritable changement d’échelle. D’ici à cinq ans, la Fondation accueillera environ 1 500 enfants et adolescents, 500 de plus qu’aujourd’hui. Pour maîtriser notre croissance, pérenniser notre modèle économique autant que notre Projet éducatif, conserver notre âme et nos valeurs, les équipes de direction ont défini un plan stratégique ambitieux pour les cinq prochaines années, que le Conseil d’administration a validé le 23 octobre 2023. Un solide travail de projection financière a été réalisé afin de vérifier que cette croissance serait supportable par la Fondation. Nous nous donnons des moyens financiers mais aussi, bien sûr, des moyens humains et organisationnels. La direction du Développement, qui gère à la fois les réponses aux appels à projets et la construction des futurs Villages d’Enfants et d’Adolescents, a été renforcée. Nous allons intensifier les recrutements et la formation des éducatrices/teurs familiaux ainsi que des équipes qui font fonctionner les établissements. Sans aucun doute, nous avons les moyens de nos ambitions. Audacieux, ce programme est avant tout maîtrisé et raisonné. »
« Notre projet est bien de prendre en compte la notion de parcours » – Michel Delalande, Directeur du Village d’Enfants et d’Adolescents d’Amboise. Afin de pouvoir s’adapter aux enfants dont les besoins et les attentes évoluent à mesure qu’ils grandissent, plusieurs dispositifs coexistent au sein des Villages ACTION ENFANCE : Village d’Enfants et d’Adolescents, services d’autonomie et de semi-autonomie, service d’accompagnement renforcé, placement à domicile (PEAD), accueil mère-bébé. Cette capacité à proposer un parcours sans rupture au sein d’un même établissement est un gage de stabilité. « Lorsque nous proposons aux adolescents de rejoindre la maison dédiée à la semi-autonomie, ils conservent la possibilité de faire marche arrière et de retrouver leur place au sein de leur maisonnée, insiste Michel Delalande. D’autres, au contraire, sont impatients de se retrouver entre pairs et de prendre un peu d’indépendance. Nous pouvons entendre les craintes des uns et les aspirations des autres et adapter notre accompagnement à leurs besoins, en toute bienveillance. »
« La générosité de nos donateurs nous ouvre le champ des possibles » – Fabien Garnier, Directeur du Village d’Enfants et d’Adolescents des Vignes. Des projets, des projets, des projets. Voilà l’antienne de Fabien Garnier pour engager et responsabiliser les éducatrices/teurs familiaux de son établissement. « Il faut leur permettre d’énoncer et de porter des projets. L’écologie est un sujet auquel tout le monde attache de plus en plus d’importance et des choses simples peuvent être mises en oeuvre à l’échelle des maisons. » Les éducateurs ont ainsi élaboré un programme de visites des capitales européennes sous l’angle de l’environnement. « Ce sont des moments fantastiques pour les enfants mais aussi pour les éducateurs qui les préparent et les encadrent. C’est une belle manière de renforcer leur adhésion au Projet de la Fondation. Nous avons la chance de disposer du soutien de nos donateurs pour réaliser ces projets hors du commun. »